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Citations sur ce thème
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Accorde à tes domestiques une nourriture saine et suffisante. Tu veux qu'ils te chérissent, ne leur refuse pas ce qu'ils ont droit d'attendre de toi.
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Honorez par les fonctions brillantes vos parents les plus proches, et confiez les emplois qui donnent un pouvoir véritable à vos amis les plus dévoués.
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Pour moi, je fais ce qui est mon devoir. Les autres choses ne me tracassent point, car ce sont, ou des objets inanimés, ou des êtres dépourvus de raison, ou des gens égarés et ne sachant pas leur chemin.
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Ne pas boire d’alcool, un mode de vie salutaire, la non-violence, le don respectueux, honorer ceux qui sont dignes, l’amour, voilà, brièvement, ce qu’est la doctrine.
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La reconnaissance est le premier de tous les devoirs.
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Il ne faut pas, comme les enfants, juger du dévouement de nos amis par le feu de leurs démonstrations, mais par la solidité et la constance de leur attachement.
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La bienveillance qu'on éprouve pour nous est aussi un titre à nos services, et nous devons obliger surtout ceux qui nous aiment le plus.
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Tous les mortels n'ont point eu les mêmes dons en partage, mais tous doivent prendre la nature pour guide et marcher d'un pas assuré dans les sentiers de la droiture.
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Quand tu manges avec un autre, souviens-toi de ne pas considérer seulement la valeur de ce qu’on sert par rapport au corps, mais aussi de garder les égards que l’on doit a celui qui donne le festin.
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Toute conduite doit être conforme au fil à plomb.
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Que toutes vos affaires se fassent en charité.
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Il faut régler sa libéralité de telle sorte, qu'en obligeant ses amis on ne fasse tort à personne.
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Prends pour objet de méditation l'ensemble des êtres et applique-toi à mettre en œuvre les quatre attitudes immensurables.
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Il faut se retirer souvent en soi-même ; la fréquentation d'hommes qui ne nous ressemblent pas trouble l'âme la mieux réglée, réveille les passions et irrite ce qu'il peut y avoir en nous de parties faibles et mal guéries.
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Il faut veiller à ne pas être plus libéral que nos moyens ne nous le permettent ; et enfin a ce que chacun reçoive selon son mérite ; car c'est là le fondement de la justice, à laquelle tous ces devoirs se rattachent.
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II faut prendre garde d'abord à ce que notre bienfaisance ne tourne pas au préjudice de celui à qui elle s'adresse, ni de personne autre.
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Respecte les secondes noces de ton père. Que le lit de sa nouvelle épouse soit sacré pour toi. Révère-la comme ta mère dont elle a pris la place.
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Rapprochez-vous des hommes les plus sages parmi ceux qui vous entourent ; appelez du dehors ceux que vous pourrez attirer, et ne souffrez pas qu'un seul parmi les poètes célèbres ou les philosophes estimés puisse vous rester inconnu.
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Que reste-t-il de digne d'estime ? Il me semble que c'est de régler son activité et son repos selon sa propre constitution, but où tendent aussi les études et les arts.
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