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Citations sur ce thème
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L'orgueil d'un homme l'abaisse, mais celui qui est humble d'esprit obtient la gloire.
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L'homme prudent ne sera jamais intempérant.
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L'homme habile peut fort bien être intempérant ; car il peut ne point agir dans les choses même où il est habile.
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L'homme prudent n'est pas seulement l'homme qui est doué d'une raison saine et droite ; il est surtout l'homme qui sait pratiquer et accomplir ce qui semble le meilleur à sa raison éclairée.
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L'homme prudent n'est pas intempérant.
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L'intempérant est vicieux par habitude, et le débauché l'est par nature.
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Le débauché est celui qui, par sa propre nature et tel qu'il est, se trouve capable d'être vicieux ; et c'est de cette cause et de cette source unique que vient en lui une raison mauvaise et perverse.
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L'orgueilleux excite les querelles, mais celui qui se confie en l’Éternel est rassasié.
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Le débauché est au-dessous de l'intempérant, en ce que les vices de nature sont plus difficiles à guérir que ceux qui ne viennent que de l'habitude.
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Le débauché est celui qui, tout en faisant le mal, a l'acquiescement de sa raison.
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Le tempérant est celui qui ressent de mauvaises passions, et qui sait y appliquer sa droite raison ; par conséquent, le tempérant vient à la suite du sage, et il est sage aussi.
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L'homme tempérant n'est pas seulement l'homme qui sait par sa raison dompter les passions qu'il ressent ; mais c'est encore celui qui, sans éprouver ces passions, serait capable de les vaincre, si elles venaient à naître en lui.
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L'intempérant n'obéit pas à la raison et se livrant tout entier à la volupté, il se laisse amollir, et, l'on peut dire, énerver par elle.
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Un homme généreux cherche même les occasions de répandre ses bienfaits.
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Heureux l'homme qui est continuellement dans la crainte ! Mais celui qui endurcit son cœur tombe dans le malheur.
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Le premier caractère de l'homme juste est de ne jamais nuire à personne, à moins qu'il ne soit injustement attaqué ; ensuite, de se servir des biens communs comme appartenant à tous, et des siens seulement comme lui appartenant en propre.
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L'intempérant possède un bien admirable, qui est la raison saine et droite, tandis que le débauché ne l'a pas.
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L'intempérant sent en lui la raison qui s'oppose à ses écarts, dans les choses où l'entraîne sa passion funeste.
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Le débauché est celui qui croit que ce qu'il fait lui est excellent et fort utile, et qui n'a pas en lui-même une raison capable de s'opposer aux plaisirs qui le séduisent et l'aveuglent.