Bonheur

Citations sur ce thème

(77)

On trouve le bonheur en observant la rectitude.

Pétosiris
Sans les biens extérieurs, dont la fortune dispose souverainement, on ne saurait être complètement heureux.

Aristote
Les maux varient, mais, à vrai dire, le bonheur ne se rencontre chez aucun de ceux que voit le soleil.

Théognis de Mégare
Pour Épicure, le sage est toujours heureux. Il est borné dans ses désirs ; il méprise la mort ; il pense des dieux immortels ce qu'il en faut croire, mais sans aucune terreur.

Cicéron
Comme l'attente des biens que nous espérons nous donne de la joie, le souvenir de ceux dont nous avons joui est encore du bonheur.

Cicéron
Le bonheur possède une nature hautement honorable et divine.

Aristote
Le bonheur appartient à la classe des biens honorables et parfaits.

Aristote
Nul ne fait l'éloge du bonheur, non plus que de la justice ; on leur attribue un caractère plus divin et plus haut et approchant davantage de la félicité.

Aristote
Il n'y a pas de bonheur sans plaisir.

Aristote
Si les succès et les revers affectent en quelque mesure les défunts, ce ne peut être que dans une trop faible mesure pour rendre moins heureux les heureux ou pour rien changer à leur sort.

Aristote
Jamais l'être qui possède le bonheur ne peut être misérable, sans qu'on puisse toutefois parler de sa félicité, s'il tombe dans les malheurs de Priam.

Aristote
S'il est vrai que l'activité domine souverainement notre vie, comme nous l'avons dit, aucun être heureux ne deviendra misérable ; car jamais il n'accomplira d'actes odieux et vils.

Aristote
Le cri de la chair : ne pas avoir faim, ne pas avoir soif, ne pas avoir froid. Celui qui a ces choses, et l'espoir de les avoir, peut lutter pour le bonheur.

Épicure
L'adversité restreint et corrompt le bonheur ; car elle nous cause des peines et entrave mainte activité.

Aristote
La vie humaine est tissée de vicissitudes mais ce sont les activités de l'homme conformes à la vertu qui disposent souverainement du bonheur, l'activité contraire ne pouvant produire qu'un effet opposé.

Aristote
On ne peut juger sûrement heureux un être que dans la mesure où il se trouve désormais soustrait aux maux et aux revers de la fortune.

Aristote
Le bonheur exige une vertu parfaite et une existence accomplie.

Aristote
Les enfants qu'on juge heureux ne sont déclarés tels qu'en raison des espérances qu'ils donnent.

Aristote
Il n'est rien de parfaitement heureux.

Horace
Le bonheur ne s'applique pas à l'enfant, car son jeune âge ne lui permet pas encore de faire usage de sa raison.

Aristote

Bonheur

Citations sur ce thème

On trouve le bonheur en observant la rectitude.

Sans les biens extérieurs, dont la fortune dispose souverainement, on ne saurait être complètement heureux.

Les maux varient, mais, à vrai dire, le bonheur ne se rencontre chez aucun de ceux que voit le soleil.

Pour Épicure, le sage est toujours heureux. Il est borné dans ses désirs ; il méprise la mort ; il pense des dieux immortels ce qu'il en faut croire, mais sans aucune terreur.

Comme l'attente des biens que nous espérons nous donne de la joie, le souvenir de ceux dont nous avons joui est encore du bonheur.

Le bonheur possède une nature hautement honorable et divine.

Le bonheur appartient à la classe des biens honorables et parfaits.

Nul ne fait l'éloge du bonheur, non plus que de la justice ; on leur attribue un caractère plus divin et plus haut et approchant davantage de la félicité.

Il n'y a pas de bonheur sans plaisir.

Si les succès et les revers affectent en quelque mesure les défunts, ce ne peut être que dans une trop faible mesure pour rendre moins heureux les heureux ou pour rien changer à leur sort.

Jamais l'être qui possède le bonheur ne peut être misérable, sans qu'on puisse toutefois parler de sa félicité, s'il tombe dans les malheurs de Priam.

S'il est vrai que l'activité domine souverainement notre vie, comme nous l'avons dit, aucun être heureux ne deviendra misérable ; car jamais il n'accomplira d'actes odieux et vils.

Le cri de la chair : ne pas avoir faim, ne pas avoir soif, ne pas avoir froid. Celui qui a ces choses, et l'espoir de les avoir, peut lutter pour le bonheur.

L'adversité restreint et corrompt le bonheur ; car elle nous cause des peines et entrave mainte activité.

La vie humaine est tissée de vicissitudes mais ce sont les activités de l'homme conformes à la vertu qui disposent souverainement du bonheur, l'activité contraire ne pouvant produire qu'un effet opposé.

On ne peut juger sûrement heureux un être que dans la mesure où il se trouve désormais soustrait aux maux et aux revers de la fortune.

Le bonheur exige une vertu parfaite et une existence accomplie.

Les enfants qu'on juge heureux ne sont déclarés tels qu'en raison des espérances qu'ils donnent.

Il n'est rien de parfaitement heureux.

Le bonheur ne s'applique pas à l'enfant, car son jeune âge ne lui permet pas encore de faire usage de sa raison.

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